Vanilla |Finie!!|

IDENTITE

N

Sparlin

P

Vanilla (Sophie)

Â

17 ans

L

New York, 23 décembre 2091

N

Américaine

P

Lycéenne

LE PERSONNAGE

Histoire : (20 lignes minimum)

Dans un des hôpitaux de New York, c’était l’effervescence. Les deux meilleurs chirurgiens de la ville allaient devenirs parents. Ces deux chirurgiens avaient une très grande renommée et jamais personne dans l’hôpital où ils travaillaient n’aurait deviné qu’ils pourraient devenir parents un jour. C’était totalement impensable, ils arrivaient le matin avec la seule envie de sauver des gens malades, ils se levaient parfois en pleine nuit pour ça. Ils passaient leur temps dans des blocs opératoires, ne donnant pas l’impression d’avoir une vie à côté de leur hôpital bien aimé. Et pourtant… Voilà que Beatrice Dolfer et David Sparlin arrivent un matin et ne vont pas directement se changer pour aller voir leurs patients. C’est sous les yeux ébahis des personnes présentes qu’ils sont allés voir le chef. La rumeur mis moins d’une journée pour ce propager dans le service où travaillaient Beatrice et David : Beatrice Dolfer est enceinte de David Sparlin. Pour les médecins comme pour les patients, cela aurait du être écrits dans le journal. Et les concernés, ils étaient affligés. Ils étaient affligés car la propagation de la rumeur allait très vite, prouvant combien les gens de cet hôpital avaient besoin de distraction. Et c’est ainsi que c’est arrivé, au mois de mars, les deux chirurgiens devinrent parents. Les parents d’un adorable petit garçon du nom de Joshua.
Joshua grandit. Il avait presque dix ans quand ses parents lui annoncèrent qu’il allait avoir un petit-frère ou une petite-sœur. Il désapprouvait. Pas par jalousie, il se demandait simplement comment ses parents allaient pouvoir s’occuper de deux enfants au lieu d’un seul. Ils étaient toujours occupés et du coup, ils le laissaient aux bons soins d’une nourrice toute la journée. Et c’était la même chose depuis dix ans. Joshua ne connaissait pas vraiment ses parents, il ne les voyait quasiment pas, il ne leur parlait quasiment pas… Cet autre enfant allait grandir de la même façon que lui, Joshua en été désolé d’avance. Quelques mois plus tard, il apprit que ce n’était pas un enfant qui allait grandir ainsi, mais deux. Pour Joshua c’était clair : il allait devoir embaucher une deuxième nourrice… Mais Beatrice et David avaient une autre idée…
C’est ainsi qu’à compté du 23 décembre de la même année, Joshua devint grand-frère et pas franchement pour son plus grand bonheur. Les deux jumelles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau alors il avait un grand mal à les différencier. Cela n’aurait pas posé de problème si elles étaient toutes les deux calmes comme des images… Malheureusement, si l’une était paisible et elle pleurait rarement, l’autre, c’était tout l’inverse… Quand elle était bébé, elle ne faisait que pleurer mais quand elle eu l’âge de marcher et de faire des bêtises à gogo, elle s’arrangeait toujours pour que Joshua voit la bêtise de loin. Comme il avait tout vu seulement de loin, il ne savait jamais laquelle des deux avait fait quoi…
C’était devenu un jeu, Lucy faisait les bêtises et Sophie était sa complice dans le cas ou ça tournerais mal. Joshua lui, devait trouver qui était le coupable. Cluedo nouvelle version… Ce jeu continua un moment puis s’arrêta tout net quand Lucy, qui était en train de faire une nouvelle bêtise, tomba du plan de travail de la cuisine. Totalement paniquée, Sophie alla prévenir Joshua et la nourrice qui accoururent et appelèrent les urgences. Après plusieurs examens, les médecins se rendirent compte que ce n’était pas à cause de sa chute que Lucy s’était évanouie, c’était autre chose. Ils la gardèrent en observation pendant un moment et Sophie et Joshua venait la voir tout les jours. Sophie n’était pas très inquiète car on lui avait dit que sa sœur allait bien mais Joshua l’était. A presque quinze ans, il était capable de savoir quand on lui mentait.
Effectivement, on leur avait mentit. Lucy n’allait pas bien et ça n’allait pas s’arranger. Il y avait quelques jours de ça, les médecins avaient détecté un virus grâce à des examens approfondis. Malheureusement, aucun traitement n’existait. C’était une maladie trop rare pour que faire un vaccin - ou même un médicament - rapporte de l’argent. Les médecins étaient formels, la petite Lucy allait mourir. Très bientôt.
Beatrice et David, bien qu’ils ne passent pas beaucoup de temps avec leurs enfants, les aimaient. Et la perte de l’un d’entre eux était quelque chose de terrible. Mais ce fut encore plus terrible quand leurs collègues leurs annoncèrent que le virus qui était en train de tuer Lucy était déjà présent à sa naissance. Il n’avait pas été détecté car il ne s’était pas encore développé. Il y avait donc de forte chance pour que Sophie ait le même. Et qu’elle ne vive pas vielle non plus…
Les deux chirurgiens décidèrent d’informer Joshua. Il pourrait ainsi mieux veiller sur Sophie et lui expliquer pourquoi Lucy allait les quitter. Sophie devait passer également les tests pour savoir si elle avait également le virus. Sachant ce qu’ils devaient chercher, les médecins en tardèrent pas à trouver : le virus était là…
C’est ainsi que Sophie passa onze ans dans un hôpital. Elle n’était quasiment jamais allée à l’école, elle n’avait jamais eu de vrais amis et ne connaissait quasiment rien du monde à part l’hôpital. Tout ce qu’elle savait, elle le savait de Joshua, de ses parents et des médecins qui s’occupaient d’elle. En onze ans, il s’était passé bien des choses… Et du point de vue de Sophie, ce n’était que des mauvaises.
Tout d’abord, Lucy mourut à l’âge de six ans. Ses parents, surtout sa mère, étaient totalement effondrer et si son père après quelques semaines de vacances était de nouveau en état de travailler, ce ne fut jamais le cas de sa mère. Le deuxième événement marquant de cette année était son entrée à l’hôpital. Joshua lui avait tout raconté, alors elle savait qu’elle allait mourir. Ce n’était qu’une question de temps… Les médecins les plus optimistes lui donnaient trois ans. Trois ans, cela lui semblait long et beaucoup trop court. Son père insista pour la garder à l’hôpital, il fallait essayer différents traitements, il voulait la guérir. Joshua n’avait pas vraiment d’avis sur la question, il savait seulement qu’il devait être la pour sa sœur alors il était là tout les jours. Il lui avait appris à lire, à écrire, à compter… Il savait que ça ne lui servirait pas vraiment, mais elle était heureuse d’apprendre toutes ces nouvelles choses alors il continua à venir, augmentant le niveau au fur et à mesure des années. De son côté, son père pensait avoir réussis à la guérir petit à petit car elle vivait plus longtemps que ce qu’avait prévus les médecins. Mais des examens lui apprirent que le virus était toujours là. Il se développait plus lentement que pour Lucy, mais il était toujours présent.
Le troisième grand événement s’est passé le jour du dixième anniversaire de Sophie. Joshua avait appris que son père savait que ses traitements ne marchaient pas et qu’il la gardait quand même dans l’espoir d’en trouver d’autres. Sophie avait écouté la conversation de son père et de son frère à leur insu. Le frère de Sophie trouvait cela stupide, si elle avait réussie à vivre par elle-même tout ce temps là, il pensait qu’elle aurait plus sa place dans une école où elle se ferait des amis et où elle serait heureuse. Mais son père était tenace et ne céda pas. Il était persuadé qu’il trouverait. Joshua lui cria qu’il était borné et totalement aveugle s’il croyait faire le bonheur de Sophie en la retenant dans cet hôpital et il sortit en claquant la porte. Il vit que sa sœur était la, juste à côté de la porte, il sut qu’elle avait tout entendu. Il la regarda droit dans les yeux et avec un sourire triste il déclara qui était désolé et il s’en alla… Sophie ne le revit plus jamais…
Le quatrième événement fut la mort de son père. Cet événement s’est déroulé juste après le départ de Joshua. David avait regardé son fils partir sans le retenir, il avait tors, il faisait ce qu’il faisait pour le bien de sa fille. Elle était forcement heureuse… En quatre ans, il n’avait pas versé une seule larme, fermant son cœur après le décès de Lucy. Mais il ne put se retenir, il pleura… Pas beaucoup, juste un peu… Mais juste assez pour ne pas voir sa fille entrer. Il se rendit compte qu’elle était là quand elle se posta devant lui.
« - Tu savais qu’ils ne marchaient pas et tu as continué… »
« - Je suis désolé. Mais je te jure que je vais y arriver ! Je vais te sauver… »
« - Papa… Même si tu y arrive, ce ne sera sans doute pas avant dix ans… Et je ne suis allée à l’école qu’environ trois mois dans ma vie. Je n’ai pas d’amis, je ne suis jamais sortie de cet hôpital… Comment espères-tu que je vive ? »
« - Tu seras avec moi… »
« - Et tu crois que j’ai envie de me contenter de ça ? De vivre avec toi ? J’ai peut être envie d’avoir un avenir autre que de dépendre de mon père… »
« - Si je trouve un traitement tu en aura un d’avenir ! »
« - Qu’appelles-tu avoir un avenir ? »
« - Vivre… »
« - Qui te dit que j’en ai envie ? »
« - Qui pourrait avoir envie de mourir ? Je trouverais un traitement même si tu dois rester ici encore longtemps ! Tu vivras ! »
« - Je n’ai pas envie… J’ai envie de sortir, j’ai envie d’avoir des amis… Tu m’en empêche… Je te déteste… »
Sophie sortit de la pièce en courant presque. Elle ne le pensait pas vraiment, elle ne le détestait pas vraiment… Mais elle n’avait pour le moment aucune envie de l’aimer… De son côté, son père se rendit compte de se qu’il avait fait et pire, sa fille le détestait… Sophie le détestait…
David mourut ce jour là, il mourut d’une crise cardiaque. Et Sophie bien qu’elle sut qu’elle devrait être triste, ne versa pas une larme.
L’événement d’après aurait pu être prévu. Beatrice devint dépressive… Une de ses filles et son mari étaient mort, son fils était partit et son autre fille était gravement malade… L’envie de mourir lui vint vite à l’esprit et elle était deux doigts d’exaucer son désir quand la femme de ménage entra dans la cuisine et l’en empêcha. Beatrice fut ensuite installée à l’hôpital, dans le service psychiatrique où elle continuait de suivre un traitement, sans grande amélioration.
Effectivement, ces onze dernières années ont été mauvaise. Mais désormais, Sophie avait envie de prendre sa vie en main, elle avait bientôt dix-sept ans. Il était temps de partir.
La jeune fille rassembla ses affaires, mis ses vêtements dans un sac, pris de l’argent et remercia du fond du cœur Joshua qui lui avait fait faire un passeport pour lui montrer comment on faisait il y a sept ans de cela. Elle avait tout planifiée, sa sortie allait se faire facilement. Le médecin qui s’occupait d’elle revenait seulement dans deux heures et les infirmiers pas avant une heure. Et c’était l’heure des visites… Elle sortit sans problème, une fois dehors, elle sortit son plan de New York pour savoir comment se rendre à l’aéroport. Elle prit le métro pour la première fois de sa vie et arriva finalement à l’aéroport de New York. Elle n’aurait jamais cru qu’un endroit aussi grand puisse exister. Elle trouva un plan et chercha activement l’accueil. Elle ne savait pas bien comment on achetait des places d’avion alors il fallait qu’elle se renseigne. Elle savait juste que cela coutait cher… Mais elle pensait avoir assez pour ça.
Effectivement, elle avait largement assez. Sophie était maintenant dans un avion, elle trouva ça tout simplement merveilleux. Quelques heures plus tard, elle arriva à Vancouver. De la, elle devait prendre le bus et ça allait prendre très, très longtemps, mais tant pis, elle ne pouvait pas rester là. Elle trouva un arrêt de bus et regarda l’horaire du seul bus allant à Juneau. Elle se dit qu’elle avait de la veine, il arrivait normalement dans seulement une dizaine de minute. Pendant qu’elle patientait, la jeune fille se força à se mettre dans la peau de son nouveau personnage : elle s’appelait Vanilla. Elle ne s’appelait plus Sophie, mais Vanilla. Elle venait d’un pensionnat pour filles près de Boston et elle venait vivre chez sa grand-mère car l’ambiance du pensionnat ne lui plaisait plus et que ses parents étaient morts. Elle continua de se persuader de ses informations pendant son trajet de bus.
So… Vanilla avait effectivement une grand-mère à Juneau, elle espérait pouvoir habiter chez elle jusqu’à ce qu’elle finisse le lycée. Elle s’était occupée de tout, elle avait demandé à Arthur Kane, un adolescent qui avait été hospitalisé pour une jambe cassée de pirater le système informatique du pensionnat pour y mettre un dossier la concernant (il était très doué pour ça). Arthur l’avait fait sans poser de question c’était la contrepartie de son accord avec elle. Vanilla lui avait acheté un ordinateur et l’avait aidé à convaincre les médecins de faire installer internet dans sa chambre en échange il ferait ce qu’elle lui demande. Elle avait donc un dossier au pensionnat où elle était censée avoir fait ses études jusqu’ici, sous le nom de Vanilla Sparlin, bien entendu.
Elle descendit du bus et chercha la maison de sa grand-mère. Elle avait l’adresse mais elle devait demander aux gens où ça se trouvait car elle n’y avait jamais été. Quand elle arriva enfin devant l’endroit indiqué, elle sonna et une vielle dame vint lui ouvrir.
« - Oui ? »
« - Bonjour… Heu… Je m’appelle Vanilla Sparlin… »
« - Tu ressemble beaucoup à ma fille... Mais elle ne t’aurait jamais donné ce nom là… C’est trop ridicule ! Pourquoi l’avoir choisi? »
Vanilla fut embarassée par la réaction de sa grand-mère. Elle s'attendait à tout, sauf à ça... Elle s'attendait à devoir lui expliquer pendant des heures qui elle était et ce qu'elle venait faire chez elle.
« - Et bien… Heu... Quand je me suis renseignée sur vous, j’ai appris que vous étiez quelqu’un que beaucoup de gens d’ici considérait comme… un peu… Heu… Folle alors… Je me suis dit que ça ferait moins étrange si justement je portais un prénom étrange… »
« - Intéressant… T’es tu déjà inscrite au lycée de Juneau, Vanilla ? »
« - Heu... Non... Enfin, je pensais le faire demain… Enfin… Si vous… »
« - Tu es la bienvenue chez moi… »
Vanilla se demanda un instant si la vielle dame savait déjà qu’elle allait venir car elle n’avait pas semblée surprise en la voyant devant sa porte et surtout elle n'avait demandé aucune explications... Puis elle haussa les épaules, c’était impossible.

Caractère : (10 lignes minimum)

Vanilla est d’un naturel curieux, c’est à la fois une qualité et un défaut… Une qualité, car elle va toujours essayer de chercher au fond des choses et ne va jamais se faire avoir bêtement. Elle ne va jamais prendre une décision importante non plus sans faire quelques recherches au préalable. Et un défaut… Tout simplement parce qu’à force de chercher, chercher et encore chercher, on finit par tomber très souvent sur des choses qu’il aurait mieux valut ne pas savoir. Ou encore tomber sur le passé de quelqu’un qui ne tient pas trop à ce qu’il soit découvert… Les gens de ce genre là, il en passait beaucoup à l’hôpital et en règle générale, ils punissaient ceux qui fouinaient un peu trop loin…
C’est là que son tact faisait apparition. On ne peut pas dire qu’il soit toujours excellent et il vaut mieux ne pas l’interrompre si l’on désirait avoir un discourt complet et non un discourt de « Heuuu… En fait… Et bien… ». Mais quand elle était lancée, elle pouvait parler pendant des heures sans pour autant indisposer son auditoire et sans que celui-ci puisse réfuter le moindre de ses arguments pour sa défense. Pour finir, ces gens de passage qui avait faillit lui attirer des ennuis la prévenaient simplement qu’il vaudrait mieux qu’elle oublie tout ce qu’elle savait sinon ils reviendraient… Après ce genre de journée, Vanilla avait pour habitude de passer une très bonne nuit.
Heureusement, il arrivait que ces recherches soient utiles. C’est grâce à ces recherches qu’elle avait découvert par hasard l’existence d’une grand-mère en Alaska. Elle avait ensuite demandé plus d’information à sa mère qui ne lui avait pas répondu grand-chose… Comme à chaque fois qu’elle allait la voir d’ailleurs. Alors elle continua à chercher et elle su que sa grand-mère avait déjà été dans un asile et qu’elle avait été relâchée quelque années plus tard et qu’elle avait été s’installer en Alaska, dans la petite ville de Juneau dans l’espoir d’une vie tranquille… C’était sans compte les commérages que contiennent souvent une ville aussi petite. C’est alors que l’envie d’aller s’installer là bas lui vint.
N’importe qui d’autre aurait refusé de vivre sous le même toit qu’une femme sortie de l’asile, mais on ne va pas dire que Vanilla était quelqu’un de tout a fait normal. En sachant justement qu’elle avait été dans un asile, enfermée, elle se dit que cela devait être une personne de confiance. Bizarre, c’était certain, mais…
C’est alors que Vanilla mis son projet sur pieds, minutieusement, elle comptait les allées et venues des médecins, infirmiers et bénévoles dans le couloir où il y avait sa chambre et dans celle-ci. Elle notait les heures avec précision… Quand le jour de son évasion est enfin arrivé, elle avait tout prévu parfaitement. Et il n’y eu aucun couac nulle part. En bref, avec cette aventure, on peut en déduire que Vanilla est quelqu’un d’observateur, de minutieux, d’intelligent et sans doute de perfectionniste car elle avait attendu la bonne minute à la seconde près avant d’y aller… Ce n’est d’ailleurs pas le première fois que son envie de la perfection faisait surface, rien que quand son frère lui donnait des exercices à faire, elle les recommençait jusqu’à ce qu’ils soient parfait, même si elle devait y passer la nuit.
Et pour finir, Vanilla est quelqu’un qui aspire à la liberté et qui désire ne dépendre de rien ni de personne. Elle avait été tellement longtemps au même endroit que s’il y a bien quelque chose que Vanilla désire faire c’est découvrir de nouveaux horizons. Et elle ne désire dépendre de rien ni de personne même si elle sait parfaitement que ce vœux ne ce réalisera jamais…

Description Physique : (5 lignes minimum)

Vanilla tient de sa mère pour quasiment tous ses traits physiques. Les mêmes cheveux blonds qui frisotaient au fur et mesure que l’on avançait vers leurs pointes, les même yeux marron qui brillaient d’un éclat d’intelligence et de curiosité et pour couronner le tout : elles faisaient la même taille désormais. Environ un mètre soixante-sept, ce qui de l’avis de Vanilla n’est pas bien grand. Seules choses qu’elle a héritées de son père étaient les agréables fossettes qui se formaient lorsqu’elle riait ou souriait tout simplement. Question vêtement, le choix de Vanilla se limitait souvent à ce que sa mère achetait pour elle avant que celle-ci soit internée à l’hôpital. (Sa mère n’avait aucune envie que sa fille porte les horribles blouses de l’hôpital, surtout si elle devait y rester longtemps.)En règle générale, sa mère lui ramenait des jeans foncés et des tee-shirts unis, il arrivait qu’elle ramène une robe de temps en temps, mais cela restait rare. De toute façon cela arrangeait bien Vanilla, car les robe ce n’était pas tellement son truc, elle avait plus tendance à porter des pantalons toute l’année même s’il faisait quarante degrés dehors. Quand aux tee-shirts… Que voulez-vous mettre d’autre avec un jean ? Cependant, rien ne l’empêchait de mettre une robe de temps en temps histoire de faire plaisir à sa mère. Elle aimait beaucoup le jaune alors la robe de cette couleur qu’elle lui avait achetée correspondait plus que bien à l’effet recherché… Depuis, c’est devenu une couleur que la jeune fille aime beaucoup porter.

RELATIONS

Familiales : (5 lignes minimum)

La famille de Vanilla ne fut jamais une famille que l’ont pourrait qualifier d’«unie». Ses parents étaient très pris par leur travail et leurs enfants les voyaient en fin de compte assez rarement. Même pendant les vacances ce n’était pas évident car ils étaient toujours cloitrés dans leur bureau respectif. Les seuls véritable membres de la famille quand elle était petite était : son grand frère Joshua, sa sœur jumelle Lucy et leur nourrice qui faisait la plupart du temps office de parents. Quand Lucy est tombée malade la famille est devenue un peu plus unie car chacun fut très touché par cette nouvelle. Mais lors de la mort de la fillette, ce fut l’inverse qui se produisit : elle s’est complètement désassemblée. David, le père de Vanilla, s’enferma dans son travail pour ne plus en sortir alors que Béatrice, sa mère, devenait inapte à travailler tellement elle était triste. Joshua et Vanilla de leur côté s’éloignèrent eux aussi un peu mais quand Vanilla fut elle aussi envoyée à l’hôpital, il se fit une mission de veiller sur elle. Et ils devinrent ainsi très proches. En ce qui concerne leurs parents, pour Vanilla, ils devenaient peu à peu des gens de passage. Quand son père venait-ce qui était assez rare- c’était pour s’assurer que ses analyses était bonnes. Et quand sa mère venait-ce qui était également assez rare car elle répugnait à sortir de chez elle- elle restait environ une quinzaine de minute avant de rentrer chez elle sans avoir vraiment parlé avec sa fille. Joshua vivait avec elle jusqu’à ce qu’il s’en aille à ses dix-huit ans, il n’a jamais regretté d’être partit de la maison familiale car regarder sa mère dépérir dans le salon devant des séries stupides n’était pas franchement le spectacle le plus attrayant qui soit. Quand à son père… Il devenait de plus en plus furieux contre lui. Il n’était quasiment jamais à la maison, il laissa sa mère seule alors qu’elle avait besoin de compagnie et il avait pour obsession de guérir Vanilla même si pour cela elle devait rester une quarantaine d’année dans un hôpital. Quand Joshua se rendit compte que les traitements qu’il lui administrait ne marchaient absolument pas, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase et il osa hausser le ton avec son père… Avant de partir pour toujours. Pour Vanilla, ce fut une perte terrible car c’était en gros, la dernière personne qui lui restait.
Quand elle a sut qu’elle avait une grand-mère, même si elle était considérée comme folle, elle eu un brusque espoir de retrouver une famille et décida de lui donner une chance… Maintenant, elle se dit qu’elle avait bien fait.
Elle espère de tout cœur retrouver son frère disparut et pouvoir lui parler une dernière fois et lui dire combien elle le remercie de tout ce qu’il a fait pour elle.

Amicales & Amoureuses : (5 lignes minimum)

Concernant les amours de Vanilla, on a vite fait le tour de la question étant donné qu’elle n’a jamais eu l’occasion de tomber amoureuse. D’ailleurs même avoir des amis, pour elle, c’est un bien grand mot… Parfois des enfants arrivait des les chambres voisines à cause d’un bras ou d’une jambe cassée. Pour eux, le temps qu’il passait à l’hôpital semblait durer une éternité, mais pour Vanilla c’était un peu différent. Elle avait l’impression au contraire, que leur visite était très rapide et donc elle n’osait pas trop devenir amie avec ces enfants de passage de peur de le regretter plus tard. Elle savait par expérience qu’avoir des bons amis et de les perdre après était quelque chose de terrible. Sa sœur Lucy n’était pas seulement un membre de sa famille, elle était aussi son amie… Mais bon, il y avait bien des enfants qui restaient un peu plus longtemps que les autres et ils étaient aussi ravis qu’elle d’avoir de la compagnie toute la journée. Quand Joshua s’en alla, elle se sentit vraiment seule et eut pour reflexe de s’ouvrir un peu plus aux autres enfants du couloir. Ce fut bénéfique pour elle, ils lui apprirent des choses qu’elle n’aurait peut être jamais entendue comme par exemple : jouer aux jeux vidéos. Cela peut paraitre idiot, mais Vanilla n’avait jamais touché une manette de sa vie et elle trouva ça tout simplement génial. Mais ils repartaient tous et finissaient par l’oublier… Elle n’eut donc jamais vraiment d’amis jusqu’au jour où Arthur Kane Arriva dans la chambre à côté de la sienne. Il avait une jambe cassée à quatre endroits et certains médecins doutaient qu’il puisse courir de nouveau un jour. Il allait donc rester très longtemps à l’hôpital pas seulement pour que les os de sa jambe se ressoudent mais aussi pour la rééducation qui devait se dérouler sous l’œil attentif des médecins. Pour Vanilla se fut son premier véritable ami… D’ailleurs quand il rentra chez lui, il lui promit de lui envoyer des lettres et des SMS autant qu’il pourrait. (Autre chose que Vanilla avait découvert grâce à ses amis à l’hôpital : le téléphone portable). Et il a tenu sa promesse…

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HORS JEU

Prénom & pseudo(s) connu(s) : Mon prénom c'est Clémentine et des pseudos j'en ai beaucoup trop... ==' (En général c'est Clems077)
Où avez-vous connu le forum ? Sur Eternity-Edward
Présence sur le forum [De 1 à 7] : Pendant les vacances... Je dirais 6-7! Quand y a cours c'est plus 3-4.
Comment trouvez-vous le forum ? J'aime beaucoup la déco! ^^
Un mot à ajouter ? Heuuu... 0_o Non.
Célébrité : Hayden Panettiere

L'histoire est vraiment bien =D. Sinon pour le reste, c'parfait <3.

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